Et tout d’abord, histoire de voir ce qu’il est possible de faire — surtout quand on n’est pas au 72e et qu’on utilise autre chose que du HobbyBoss ! — et la diversité des interprétations en matière de maquettisme, voici quelques cockpits que je ne serais pas honteux d’avoir signé :
Reprenons nos œuvres hobbybossiennes.
Un oubli presque aussi beau que celui des consoles, c’est celui du phare d’atterrissage, au bord d’attaque de l’aile gauche, et des feux de position dont l’existence est attesté par le 102 du musée :.
Je me suis lancé dans la réalisation du phare d’atterrissage selon la méthode du plastique transparent inséré au bon endroit et mis en forme. Sans être absolument difficile, c’est assez longuet… On encadre par protection l’emplacement avec du papier cache, on trouve un bout de plastique transparent (j’ai malheureusement dû en utiliser deux pour avoir le bon volume, mais on dira que ça va quand même) qu’on met à la bonne taille à l’arrière et sur les côtés, puis on ponce et on re-ponce jusqu’à un résultat acceptable. Limes diverses et variées, papiers gratteurs allant du grain 120 au grain 8000. Le 120 ne provient pas d’un magasin de maquettes…
La première vue nous remontre le poste de pilotage et son début d’aménagement.
Par prudence, les feux de positions seront réalisés ultérieurement, après la peinture…
Voilà, voilà, voilà.