À la demande insistante de Philippe F. (je ne donne pas son nom complet, il ne le mérite pas), je reprends avec modération la publication de mon admirable roman d’aventures.
Commençons par les plaisanteries de Kora, dont l’humour inoxydable soutien mon humeur joyeuse, à laquelle Laurent A (A comme Administrateur) paraît attaché.
Si vous regarder la notice de montage, vous constatez que dans le schéma représentant la grappe il y a en bas à gzauche, à côté d’une aile, une pièce numéro 3 qui est barrée d’une croix, ce qui, en principe, signifie qu'elle n’est pas utilisée dans notre montage.
Mais si vous abaissez votre regard attentif en bas de la page, à gauche, vous trouvez une image n° 2 qui vous montre l’installation interne du cockpit vue de profil. Et tout à l’arrière, qu’est-ce qu’il y a ? L’indispensable pièce n° 3 !!!
À noter que cette pièce, une cloison, apporte un certain service. Je m’étais inquiété de savoir comment j’allais fixer le plancher au fuselage puisque les flancs d’icelui ne comportent ni creux ni relief qui permette de le positionner. J’avais donc envisagé de le coller, directement ou non, sur l’intrados de l’aile. Hé bien ! Kora en soit loué, si on utilise les cloisons n° 2 et 3, on peut coller l’ensemble
di-rec-te-ment au fuselage !
Bon, il ne faut pas exagérer, les cloisons sont difficiles à positionner aux extrémités du plancher et les essais à blanc montrent que les dimensions ne sont pas bonnes, ce qui fait que si une cloison est bien positionnée, l’autre ne l’est pas. On obtient notamment un plancher coincé en arc de cercle ou suspendu dans le vide… Mais, n’est-ce pas ? j’ai l’habitude.
Pour le résultat pratique, on en parle la prochaine fois.
KORA KORA, TU L’AURAS DANS LE BABA !
Non, mais…