[Italeri] B-25 C Mitchell (RAF) FINI

Bien le bonjour à toutes et à tous,

Un montage terminé en appelle un autre et même, pourquoi pas, plusieurs: histoire d'entretenir une certaine diversité dans les différentes phases d'assemblage et de peinture.

Cette pratique s'applique parfaitement à ma philosophie de travail dans laquelle (par exemple) la phase de peinture ne fait appelle qu'aux pinceaux et aux colorants enamel (Humbrol, Revell, Pactra, Mo-Lac, Testor et compagnie, brillants ou mats sans distinction d'emploi) et requiert patience et détermination patience dans le chef de celui qui la met en pratique.

Les temps de séchage étant relativement longs (surtout après ajout d'huile de lin), cela me permet de passer au sujet suivant, arrêté à un autre stade d'avancement.
De cette manière, plusieurs projets en cours avancent souvent ensemble mais à des rythmes discordants, en fonction du stade d'évolution auquel ils sont arrivés.

Peu importe que le premier finisse bon dernier puisque, dans l'ensemble, la main reste toujours occupée.
Cette méthode est éprouvée et ratifiée depuis la nuit des temps (ou presque), en ce qui me concerne.
Me suis-je bien fais comprendre ?...
Notez que j'ai aussi connu les montages entamés puis terminés le jour même mais il faudrait remonter à ma petite enfance pour le vérifier et ces temps-là ne sont plus.

Or donc (e j'en viens au sujet de cette intervention), afin d'accompagner deux montages en cours dans la rubrique "Pas à pas", j'ai puisé dans mes réserves la maquette qui sera bientôt la troisième roue du carrosse.

Il y a déjà quelques temps de cela, j'avais privilégié le vieux mais tout à fait correct kit Heinkel HE-111 (en cours) de chez Frog à l'excellent et très soigné B-26 Marauder de chez Airfix.
Ce B-26 Marauder Airfix je l'ai déjà monté, il y a des lustres de cela.
Je m'en souviens parfaitement et pour la petite histoire (puisque nous sommes entre nous), c'était durant mon service militaire, en terre germanique, dans les années 70.
Le montage avait été à ce point réussi (allu au pinceau mais classe quoi) que je n'avais pas eu l'occasion de revenir at home pour pouvoir l'exhiber à la cantonade puisqu'un compagnon de régiment se l'était alors réservé avant même le dernier coup de brosse.
Je me le réserve donc pour la bonne occasion (car toujours en stock).

Cette fois, mon choix c'est plutôt porté sur le B-25 de chez Italeri.
Il y a fort longtemps, j'avais déjà commis une maquette de B-25 sur base du kit Matchbox.
Mais au final, le résultat n'était pas à la hauteur de mes attentes.
Etais- ce dû au mauvais dièdre des ailes ou encore à cette manie chez Matchbox de fournir certaines pièces d'un même sujet avec des lignes de structures  gravées à la charrue et d'autres au relief pyrénéen, je ne saurais le dire précisément.
Le fait est que je l'avais démonté pour n'en garder que quelques pièces intéressantes à destination de ma boîte à surplus.

Par contre, le kit Italeri est d'un tout autre standing !
Ses lignes de structures finement mises en relief seront de toute façon éliminées (je suis comme cela) et le plastique vert foncé dans lequel le kit est moulé ne réserve qu'un léger handicap pour la pose de teintes claires.
Pour le reste: rien que du bonheur !

Voyez plutôt:












Toute première opération: le dégraissage des pièces.
Ensuite: huile de coude et papier de verre fin pour toutes les surfaces !



Alors alors !?!...
Alors, je sens que la saison qui vient va me permettre d'y consacré le temps voulu.

c'est qu'il est joli ce Mitchell Italeri, en plus une version un peut moins vue car de début de série

bon amusement

Si ma mémoire est bonne, j'ai aussi cette boîte. Qui attend l'inspiration

Mon cher Dephil, maintenant que nous connaissons le fabricant, je me permets de mettre le titre du post à la norme du forum...

Paco

Dès que j'aurai lu le texte de présentation, je serai parfaitement heureux.

Mais j'ai beau être revenu à Tours, il y a encore le jardin et l'ordinateur à remettre en état…

Allez, j'y crois !

Mon cher unguibusetrostro,

Tu as bien fait d'apporter cette rectification.
Il me semblait bien avoir oublié un petit détail conventionnel mais je ne parvenais plus à savoir lequel.
Maintenant, je sais.

Je m'installe également au 1er rang tant qu'il y a de la place...

Tiens cela me rappelle que j'ai un encours de B25 H Italeri vieux d'une vingtaine d'années au moins

Bon montage

Un petit peu d'histoire ne fait de mal à personne:

Le B-25 Mitchell fut sans conteste l'un des meilleurs (si pas le meilleur) bombardier moyen ayant opéré durant le second conflit mondial.
Performant, maniable et sûr, robuste, puissamment armé, d'une grande souplesse d'emploi, simple à entretenir même dans les environnements les plus difficiles, il représenta une redoutable menace pour tous ses adversaires.



Son théâtre d'opérations principal fut celui du pacifique et sa légende pris corps lors du premier raid de bombardement (04/1942), commandé par le lieutenant J.H. Doolitle (le fameux décollage à partir d'un porte-avions) contre diverses installations pétrolières de Tokyo, Kobe, Yokohama et Nagoya.
Une des deux décorations proposées par Italeri, pour son B-25 C, reprend d'ailleurs l'appareil de J.H. Doolitle.

L'Angleterre reçu pour sa part plus de 500 B-25 disséminés au sein de 6 squadrons dont le squadron 320 à moitié pris en charge pas des équipages néerlandais et belges (pilotes et personnels navigants).
Plusieurs de ces squadrons opérèrent sur le front européen et participèrent aux opérations lors du débarquement.

Les versions B-25 C et B-25 D ne différaient que par le lieu de fabrication: la série C était produite à Inglewood (Californie), et la série D à Kansas City (Kansas).
Au total, plus de 10.000 B-25 toutes versions confondues furent construits et nombre continuèrent à voler après le second conflit mondial.

Pour la représentation de mon B-25, j'ai le choix entre deux décorations relevant d'appareils ayant appartenu à des squadrons de la RAF.
La première est proposée dans la boîte Italeri: squadron 226 trois tons RAF classiques (vert et brun dessus/vert pâle dessous).
La seconde serait à prélever dans la boîte d'un B-25 Frog: squadron 320 deux tons US classiques (vert olive dessus/gris moyens dessous).
Les intérieurs restant peint aux standards US.
J'ai donc du temps devant moi avant de me décider.



Première opération: après avoir poncé les lignes de structures légèrement représentées en relief, j'ai renforcé des ouvertures pré-embouties dans les flancs du fuselage et cela à l'attention d'autres versions (notamment la version B). L'épaisseur de matière restante me paraissait particulièrement ténue au risque d'être transpercée lors de l'une ou l'autre manipulation.
Je n'ai pas utilisé le Putty classique (contenant de l'acétone) pour combler ces éléments pour les mêmes motifs (minceur excessive de la paroi et risque de déformation).
Le milliput (deux composants à mélanger et diluable à l'eau) était tout désigné pour cette opération. J'ai donc sorti mon antique paquet.  Malheureusement un des deux composants était complètement solidifié (vétusté).
Qu'à cela ne tienne, ce type de pâte époxy à deux composants est devenu monnaie courante aujourd'hui et un produit similaire (rayon bricolage) destiné à la réparation de matériaux divers a parfaitement fait l'affaire.



En aparté et en rapport avec les baies vitrées latérales, dans l'intention de remplacer les pièces cristallines par du Kristal-Kleer (facilité pour le montage), j'ai pratiqué un petit essai.
C'est faisable mais limite tout de même vu la taille des ouvertures.

Je me tâte…

Je suis également

Salut,

J'ai ce kit en cours depuis 2004. Avant la sortie du kit Hasegawa, il s'agissait de la meilleure représentation du Mitchell. Une planche de photodécoupe Eduard existe pour meubler le cockpit mais surtout le poste avant du bombardier.
Perso, je ferai la version Doolittle. J'ai gardé les lignes de structures en relief car elles sont réalistes pour les lignes de rivets.
Enfin, tu noteras qu'il n'y a pas de casquette sur le tableau de bord. Un profil de découpe est disponible dans un fanatique de l'aviation.

Bon courage, je suis au 1er rang.

Pour les lignes en relief, les garder, ça se discute. Mais c'est un choix personnel, donc, je je dis rien !!!

Je me contenterai donc du 2e rang…

Avant toutes choses, quelques petits travaux préliminaires sont nécessaires:
Malgré ses qualités, le moulage du B-25 de chez Italeri n'a pas échappé à l'une ou l'autre petite imperfection.
Sur le fuselage j'ai pu remarquer quelques légers retraits de matière aux endroits où se situent les tenons d'assemblage.
Un masquage au putty aura pour but de faire disparaître tout cela.



Par ailleurs:
Je constate avec une satisfaction toute particulière qu'Italeri avait su penser aux maquettistes en offrant une solution de stabilité en la présence d'un petit pied cristallin que j'utiliserai certainement.
Les avions à train d'atterrissage tricycle avant affichent généralement un gros défaut lorsqu'ils sont représentés de façon statique: celui d'exhiber un déséquilibre arrière qui rend impossible le maintien d'une position normale.
Une solution souvent préconisée consiste à mettre du poids dans les parties avant de la maquette afin de renverser ce déséquilibre.
Par expérience, je sais qu'au fil du temps, ce contrepoids excessif joue défavorablement sur les jambes du train d'atterrissage et les axes de roues, au point que certaines déformations finissent inévitablement par apparaitre.
Le plastique dans lequel est moulé un modèle réduit n'a pas pour prétention de résister indéfiniment à trop d'efforts de compression ou de tension.

Dès lors deux solutions se présentent:
1- Installer un contrepoids mais aussi remplacer les jambes du train d'atterrissages par des pièces idoines mais métalliques (lorsque c'est possible, évidemment).
2- Ne pas installer de contrepoids mais recourir à un béquillage le plus indiscernable possible.
C'est ce que propose Italeri et c'est la solution que je privilégie, quitte à aménager un béquillage fait maison (ce qui a déjà été le cas pour un Arado 234).


Autre chose encore et en réponse à Ben43, concernant la figuration des lignes de structure:
La conception que j'ai (et à laquelle je me tiens) d'une mise à l'échelle en matière de modélisme peut se résumer dans les deux images suivantes:



Mais j'admets qu'une conception plus "artistique" de la représentation soit actuellement à l'honneur.

Avant d'entamer tout assemblage, je donne un rapide coup d'œil au plan de montage.
Rapide mais consciencieux.

Et cela non pas pour parfaitement en suivre les séquences (car à force de monter des maquettes d'avions, certains automatismes se sont installés) mais plutôt pour repérer celles qu'il ne me faudra pas suivre inconditionnellement.
Un exemple: pour des raisons pratiques uniquement, je m'arrange toujours pour séparer le montage du corps principal du modèle de son train d'atterrissage.

Dans le cas du Mitchell d'Italeri et suivant rigoureusement chaque phase du plan fourni, la chose n'est pas envisageable.

Comment faire alors ?
Je cherche une échappatoire.

En ce qui concerne le train d'atterrissage principal sortant des nacelles moteurs, j'ai découpé la partie inférieure des attaches de manière à pouvoir venir y glisser les jambes du train bien après assemblage des demi-coques.



Ces demi-coques sont ainsi jointes et intérieurement renforcées à leur jonction de façon à supporter la gravure extérieure apposée ensuite, représentant la séparation des trappes masquant le dit train principal (puisque au retour sol, ces fameuses trappes se referment après sortie du train d'atterrissage).



Cela fait et tout étant peint (zinc chromat primer), les nacelles moteurs seront assemblées aux ailes sans que le train d'atterrissage ne vienne ajouter un élément perturbateur en fragilité lors des opérations qui suivront (masticages et ponçages).

Malheureusement pour la jambe de train avant cela apparaît impossible (vu l'étroitesse de son compartiment).
Il faudra donc faire avec son installation préalable.

Côté fuselage, j'ai ajouté une mentonnière au tableau de bord, supprimé la plaque de blindage du siège co-pilote (car l'exiguïté du poste de pilotage impose d'enjamber le siège pour s'y installer) et découpé (pour la représenter ouverte ensuite) la trappe d'accès pilote et co-pilote.

Je me tâte encore à propos de la trappe d'accès arrière (découpée ou simplement gravée).



Ok, il est vrai aussi que tous ces aménagements sont encore en cours d'implantation…
Mais j'avance !

DePhil a écrit:...En ce qui concerne le train d'atterrissage principal sortant des nacelles moteurs, j'ai découpé la partie inférieure des attaches de manière à pouvoir venir y glisser les jambes du train bien après assemblage des demi-coques.

Bien l'astuce

Cet avion est mythique, avec un peu de retard je prend une place au fond de la salle histoire de suivre la suite.

Avant de refermer le fuselage, j'aménage sommairement le poste de pilotage.

Ce qu'il en restera, lorsque la verrière sera installée, suffira à y discerner l'un ou l'autre élément.
Je ne suis même pas certain que le tableau de bord sera encore visible, en tout ou même en partie.
Mais le peu qui s'y trouve est toujours préférable à un cockpit intérieur vide.

Ensuite il restera à installer le vitrage latéral et le train d'atterrissage avant donc j'ai orienté la roue vers la gauche (fourche sciée puis remise mise en place après installation d'une tige de renfort axial).

Le vitrage latéral et le train avant resteront des éléments délicats au moment de la finition des raccords (masticage et ponçage).
Heureusement cette phase sera réduite au minimum eu égard aux qualités des assemblages (peu de travail de ce côté).



Remarque:
les fenêtres latérales à l'arrière du cockpit ont leurs coins découpés à angle droit alors que les photos d'époque les montrent arrondis.
(erreur impardonnable ?)

C'est un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup (comme le disait si justement la chanson…)

Cockpit sobre mais joliment décoré

Ne pas installer d'emblée le train d'atterrissage, je suis tout à fait d'accord !

Mais si la jambe de train avant doit être montée d'emblée, le mieux est peut-être de monter le train complet ?

Comme c'est une question personnelle, tu avances comme ça te convient !

Bonjour Quintilius,

Quintilius a écrit:Mais si la jambe de train avant doit être montée d'emblée, le mieux est peut-être de monter le train complet ?

La question est: "En quoi cela serait-il mieux ?..."

Plus qu'une question personnelle, cela répond au besoin de s'épargner toute présence d'aspérité (ou du moins la réduire au minimum) lorsqu'il y a encore de la manipulation importante à venir.

La casse (consécutive à l'aspérité) est toujours mauvaise à endurer alors qu'on pouvait l'éviter.

J'ai bien écrit : le mieux est "peut-être". Il faut avoir la maquette en mains pour en juger, en particulier si l'on est amené à la poser sur le ventre… 

Wait and see !

Quintilius a écrit:Il faut avoir la maquette en mains pour en juger, en particulier si l'on est amené à la poser sur le ventre…

D'où tout l'intérêt d'investir dans le fameux support "VERTIGO".

Les choses commencent à se préciser tout doucement.

Lorsque la symétrie de l'ensemble sera assurée par un séchage parfait des collages, le travail de finition pourra commencer.



Les vitrages latéraux ont été solidement fixés (j'y compte bien) à la colle à bois et sont protégés avec du tape de masquage contre tous risques d'éraillure lorsque le papier de verre fera son office.

Quand les sutures d'ailes seront élimées, les nacelles moteurs seront mises en place.
Faisons les choses dans l'ordre: la priorité est attribuée au fuselage.

Alors alors !?!...
Alors c'est ici que l'huile de coude va devoir faire son apparition.

Étant en train de monter le vieux B 25 Airfix qui n'a pas de cloison arrière de cockpit... Cela m'a intrigué. Aussi ai-je effectué quelques recherches et il semblerait qu'il y ait bien une cloison mais avec une large ouverture centrale alors que Italeri l'a représenté fermée...

http://www.nmusafvirtualtour.com/cockpits/WWII_tour/WWII-6.html

Ça avance comme j'aimerais que ça avance chez moi… Il faut vraiment que je sois plus adroit et plus soigneux !

PZMR a écrit:...Cela m'a intrigué. Aussi ai-je effectué quelques recherches et il semblerait qu'il y ait bien une cloison mais avec une large ouverture centrale alors que Italeri l'a représenté fermée...

Bonjour PZMR,

Cette paroi placée par Italeri sur la maquette en question à l'avantage de masquer le vide intégral qui prolonge l'arrière du poste de pilotage.

Bien entendu on peut aménager celui-ci de la manière dont cela a été réalisé sur cette ébauche d'intérieur (qui n'est pas de mon cru, je m'empresse de le préciser).



Mais quelle affliction que de devoir refermer là-dessus un fuselage qui n'en dévoilera plus rien !

Non, la paroi occultante est sans doute un anachronisme historique mais il fait œuvre de sagesse en ce qui me concerne.

DePhil a écrit:Cette paroi placée par Italeri sur la maquette en question à l'avantage de masquer le vide intégral qui prolonge l'arrière du poste de pilotage. Bien entendu on peut aménager celui-ci de la manière dont cela a été réalisé sur cette ébauche d'intérieur (qui n'est pas de mon cru, je m'empresse de le préciser).
Mais quelle affliction que de devoir refermer là-dessus un fuselage qui n'en dévoilera plus rien !
Non, la paroi occultante est sans doute un anachronisme historique mais il fait œuvre de sagesse en ce qui me concerne.

J'adhère complètement à cette vision de notre hobby... Surtout au 1/72...

Petite avancée sur mon Mitchell.

Sur toute la maquette, les lignes de structures représentées en léger relief ont été poncées (leur présence part d'un bon sentiment mais reste, à mon sens, complètement fantaisiste).

J'ai toutefois gravé la séparation centrale des portes de la soute à bombes et tracé la présence du panneau d'accès arrière (situé derrière les dites portes).

Le masticage des jointures se peaufine avec du Liquid Green Stuff (qui va bien dans cette fonction).
Avant leur mise en place, les moteurs subiront le même traitement.
Sur leurs échappements, il va aussi y avoir du travail de masticage (je le subodore rien qu'à les monter à blanc).



Il n'y a rien d'intéressant à la télé ce soir à part du sport, programme pour lequel je ressens la plus grande indifférence (et en plus je n'ai pas la télé…).

Donc je continue.

Puisqu'on en est au ponçage, autant y rester n'est-ce pas ?

J'installe les nacelles moteurs que j'obstrue les raccords.

Un premier dégrossissage sommaire me permet de localiser les endroits ou un masticage plus fin est nécessaire.
Cela fait je passe le tout à la grosse brosse sous une pellicule de peinture quelconque (ici c'est du blanc Molak qui fait office mais cela aurait pu être une autre teinte claire d'une toute autre marque) jouant le rôle de révélateur et qui disparaîtra quasi-complètement sous les ponçages de finition suivants.



La Molak blanche est une peinture costaude (avec un beau grain matt) qui, dans le temps où je "figurinais" quelque peu, me servait à générer une solide couche de fond sur mes sujets.
J'en ai d'ailleurs encore quelques pots en excédent (je ne m'inquiète plus du souci d'approvisionnement en ce qui concerne cette teinte).
Et ce fut d'ailleurs à cet effet (couche de fond pour figurines) que mon aérographe fut essentiellement utilisé.

Juste pour dire.  

Je vais bien laisser sécher (48h ou plus) avant d'entamer la suite.

Etape après étape, le petit Poucet avance.

Je pense que je vais avoir fini mon B 25 avant le tien... nananère...