06.06.2015
Allez Zou ! Je le sort de son tiroir; ça fait un bon moment que je regardais du coin de l'oeil
Passons en revue le kit:
1) Face avant et arrière de la boiboite:
2) Notice et documentation:
Si la notice est claire comme de l'eau , pour le montage, du côté documentation et historique du coucou: zéro,nada, que dalle,... ou presque!
Juste la déco avec un titre, mais aucune historique ou information excepté le titre:
Sinkiang Aviation Unit, Dihua airfield, China, 1941-42
Quelques recherches rapides sur le net ne donnent pas pléthore d'informations, mais j'ai quand même découvert ceci:
Le Polikarpov I-16 fighter était parmi les meilleurs combattants à grande vitesse du monde dans la seconde moitié des années 1930. Le I-16 était le pilier de la flotte d'aéronefs de la Force aérienne de l'Armée rouge dans la perspective de la Grande Guerre patriotique.
Le I-16 Type 5 a été équipé de deux "ShKAS" de mitrailleuses de 7,62 mm. L'expérience du combat de la guerre civile espagnole (1936-1939) a montré que la puissance de l'incendie d'entre eux ne suffit plus pour le combat aérien moderne.
Cela a conduit à la prochaine modification - la I-16 Type 10, qui est devenu la plus nombreuse variante du chasseur I-16: quatre «ShKAS" mitrailleuses (deux synchronisés dans le fuselage et deux dans les ailes) et le plus puissant Shvetsov moteur M-25V (550 kW = 750 ch).
Après la signature du pacte sino-soviétique de non-agression le 21 Août 1937, 216 I-16 combattant de divers types ont été fournis à la Force aérienne chinoise.
Les plus nombreux parmi eux étaient de type I-16 10.
3) Un coup d’œil à la plasturgie:
Comme d'habitude, chez Eduard, la qualité est au RDV:
4 grappes de couleur grises, pas de bavures, gravures fines, en creux et volumes.
Les boulons et rivets sont bien représentés, c'est du beau matos !
Le tableau de bord est plutôt bien réalisé.
Du côté pièces transparentes: difficile de faire plus simple !
Une minuscule verrière et le collimateur de visée:
4) Un coup d’œil à la planche de décalcos:
Là aussi, le minimum vital pour ce modèle chinois:
- l'étoile rouge avec sa traînée blanche pour les flancs,
- 2 écussons de l'armée de l'air chinoise,
- le tableau de bord et 2 chiffres: dites "33", comme chez le docteur !
Heureusement, dans ma boite à rabiot, il me restes quelque étoiles rouges et blanches qui me permettront de détourner ce qui de la Chine pour le ramener en URSS, en hivers comme il se doit !
Car voici ce que je voudrais bien réaliser (avouez que c'est quand même plus alléchant).