Une seule grappe plastique dans la boite, ce qui devrait aider à un montage rapide.
Une notice claire.
Et une petite planche de décals.
La déco choisi sera celle du box art soit la monture de Tatéo Kato commandant alors le 1er Chutaï (escadrille) du 2ème Hiko Dataï (escadron) dans le Nord de la Chine en 1937. Sa biographie a été publié dans la revue Avions N° 122.
On trouve une étude du Ki-10 dans la même revue Avions N° 217.
La couleur de l’avion sur l’illustration de la boite semble blanc cassé alors que l’avion serait gris vert.
Début des hostilités
Le kit présente les volets du radiateur fermés hors l’avion au sol les montre ouverts. Bien que ce soit un peu chronophage de les ouvrir, je me suis lancé dans l’opération.
Deux traits de scie, 5 ou 6 petits trous, un coup de lime pour affiner la tôle et hop !
A ce stade, j’ai percé en A les trous qui permettront aux biellettes d’ailerons de sortir du fuselage…
En B, les trous d’où sortiront les câbles de dérives…
Le tableau de bord est encadré par les mitrailleuses (C ) et le support à munitions.
La pièce du capot est percé (en D ) pour faire sortir les canons des mitrailleuses.
L’habitacle est légèrement meublé, le palonnier est posé dans le sens où la dérive sera tournée et une pièce de plastique figure le radiateur.
Cette pièce, mise en forme du fuselage est percé d’une série de trous de 0,5mm de diamêtre.
Pour être régulier, j’ai fait rouler Rosie la riveteuse sur le plastique pour marquer les endroits à percer.
Il sera aisé de refermer le fuselage.
Le harnais et en bande cache et les boucles en cuivre. Les éléments principaux du bureau sont collés.
Il est en croix et j’ai posé du mastique aux endroits douteux. Le collage du fuselage a été fait à la colle fluide.
Pour éviter d’avoir une séance de ponçage fastidieuse, j’utilise le minimum de mastique posé sur mon drôle de pinceau et rendu fluide à la consistance de la peinture par une goutte de colle extra fluide.
En attendant que ça sèche, j’ai fabriqué la pièce centrale devant supporter les volets.
J’ai redimensionné les photos et écrit ce petit texte au brouillon. Mais ça, c’est hors jeu.
L’avion repose là sur un pot de la couleur définitive de l’avion. Mais j’ai un doute quant à son utilisation à l’aéro. Avez-vous déjà passé de la Humbroll à l’aéro ???
Un petit quart d’heure de ponçage plus tard…
En pied de dérive le joint a été fait à l’aide d’une fine carte plastique. Un coup de cutter a suffit pour faire propre.
Voilà déjà le quart du temps imparti envolé...
A plus
Dernière édition par cage à poules le Jeu 21 Déc 2017 - 8:28, édité 1 fois