Le Siemens-Schukert D-III fut un des derniers efforts technologiques allemands de 1918. Doté d'un puissant moteur rotatif Halske, l'appareil disposait d'une technologie révolutionnaire avec une hélice contra-rotative pour éliminer l'effet de couple. Son excellent taux de montée le désigna pour équiper les unités d'interception de bombardiers et de protection du territoire allemand.
La machine présentée appartenait personnellement à l'as Ernst Udet au printemps de 1918. La scène illustre une séance photo typique de l'époque où Lola Zink, fiancée du pilote, se fait tirer le portrait devant la machine qui porte son surnom.
La maquette Eastern Express est une reprise du moule Toko et souffre de quelques défauts (envergure légèrement trop longue, découpe de l'aile supérieure trop peu profonde, corde de la profondeur trop faible, gravure fantaisiste) qu'il est plus ou moins facile de corriger. Par exemple, j'ai renoncé à rectifier l'envergure, ce qui aurait impliqué une irrégularité de l'espace entre les nervures au point de raccord. Pour le reste, le kit a été détaillé principalement en scratch, à part les harnais et les mitrailleuses Spandau, de chez Eduard. La décoration provient du kit, à part les losanges imprimés maison. Les figurines proviennent de l'incontournable boite Orion sur la 1ere GM. Peinture Humbrol, patine légère à l'huile.
La machine présentée appartenait personnellement à l'as Ernst Udet au printemps de 1918. La scène illustre une séance photo typique de l'époque où Lola Zink, fiancée du pilote, se fait tirer le portrait devant la machine qui porte son surnom.
La maquette Eastern Express est une reprise du moule Toko et souffre de quelques défauts (envergure légèrement trop longue, découpe de l'aile supérieure trop peu profonde, corde de la profondeur trop faible, gravure fantaisiste) qu'il est plus ou moins facile de corriger. Par exemple, j'ai renoncé à rectifier l'envergure, ce qui aurait impliqué une irrégularité de l'espace entre les nervures au point de raccord. Pour le reste, le kit a été détaillé principalement en scratch, à part les harnais et les mitrailleuses Spandau, de chez Eduard. La décoration provient du kit, à part les losanges imprimés maison. Les figurines proviennent de l'incontournable boite Orion sur la 1ere GM. Peinture Humbrol, patine légère à l'huile.