Voici mon premier Phantom II Fujimi acheté en début 2000 où j'ai voulu un montage « from the box ». Après avoir monté deux F-4 Hasegawa, j'ai voulu comparer avec une maquette qui était en concurrence à l'époque.
A l'ouverture de la boîte, l'ensemble présente plutôt bien avec une gravure très fine et un détaillage suffisant pour l'échelle. Mais au moment du montage on découvre plusieurs difficultées dues en grande partie à un découpage trop important des pièces. Je pense par exemple au nez « reco » en trois parties qui complique l'affaire avec des jointures délicates. Le ventre du nez est en plastique transparent, plutôt une bonne idée, mais qui rend délicat le masticage dans cette zone. Les écopes de refroidissement latérales sont à coller sur les flancs du fuselage avec un travail minutieux de masticage à la clé. J'ai passé quelques heures pour les fondre dans le fuselage !
L'intérieur du cockpit est correcte même si il manque des cloisonnements qui ne sont pas visibles verrières fermées.
La peinture a apporté son lot de tracas. Une peinture qui accroche mal. Est-ce du à la qualité du plastique ou bien à l'apprêt utilisé (Tamiya gris) ?? Bref, j'ai fait face à plusieurs arrachages de fines couches à des endroits pas toujours sympas ! Les peintures enamel utilisées sont Humbrol (Hu 129 gris mouette) et Revell (SM 301 blanc satin) pour les principales, le tout vernis avec le rendu semi-mat MRP 126.
En conclusion, le modèle Fujimi n'est pas la maquette que j'espérais car bien plus compliquée que son concurrent Hasegawa et moins précise dans les détails et la gravure. Cette dernière est un peu trop fine et disparaît au moindre ponçage. Après un moment de déception, j'ai quand même finalisé cette maquette qui semble juste de forme. Les décalques fournis dans le boîte manquent de finesse mais je m'en suis contenté. Je ne la recommande pas au débutant et la concurrence aujourd'hui est plutôt rude … !
Comme souvent sur les Phantom II, l'ajustage aile/fuselage n'est pas parfait et nécessite un peu de temps. Le vide-vite en queue d'appareil est tellement fin qu'il casse dès la première manipulation. Je l'ai soigneusement mis de côté pour le recoller à la fin de la construction, comme le tube pitot sur la dérive d'ailleurs. J'ai refait le tube pitot du nez avec un morceau de microtube et du plastique étiré. Le microtube a été collé et mastiqué avant la peinture et la pointe a été posée en finale pour éviter toute casse.
A l'ouverture de la boîte, l'ensemble présente plutôt bien avec une gravure très fine et un détaillage suffisant pour l'échelle. Mais au moment du montage on découvre plusieurs difficultées dues en grande partie à un découpage trop important des pièces. Je pense par exemple au nez « reco » en trois parties qui complique l'affaire avec des jointures délicates. Le ventre du nez est en plastique transparent, plutôt une bonne idée, mais qui rend délicat le masticage dans cette zone. Les écopes de refroidissement latérales sont à coller sur les flancs du fuselage avec un travail minutieux de masticage à la clé. J'ai passé quelques heures pour les fondre dans le fuselage !
L'intérieur du cockpit est correcte même si il manque des cloisonnements qui ne sont pas visibles verrières fermées.
La peinture a apporté son lot de tracas. Une peinture qui accroche mal. Est-ce du à la qualité du plastique ou bien à l'apprêt utilisé (Tamiya gris) ?? Bref, j'ai fait face à plusieurs arrachages de fines couches à des endroits pas toujours sympas ! Les peintures enamel utilisées sont Humbrol (Hu 129 gris mouette) et Revell (SM 301 blanc satin) pour les principales, le tout vernis avec le rendu semi-mat MRP 126.
En conclusion, le modèle Fujimi n'est pas la maquette que j'espérais car bien plus compliquée que son concurrent Hasegawa et moins précise dans les détails et la gravure. Cette dernière est un peu trop fine et disparaît au moindre ponçage. Après un moment de déception, j'ai quand même finalisé cette maquette qui semble juste de forme. Les décalques fournis dans le boîte manquent de finesse mais je m'en suis contenté. Je ne la recommande pas au débutant et la concurrence aujourd'hui est plutôt rude … !
Comme souvent sur les Phantom II, l'ajustage aile/fuselage n'est pas parfait et nécessite un peu de temps. Le vide-vite en queue d'appareil est tellement fin qu'il casse dès la première manipulation. Je l'ai soigneusement mis de côté pour le recoller à la fin de la construction, comme le tube pitot sur la dérive d'ailleurs. J'ai refait le tube pitot du nez avec un morceau de microtube et du plastique étiré. Le microtube a été collé et mastiqué avant la peinture et la pointe a été posée en finale pour éviter toute casse.