Bonjour à tous,
Troisième tentative de parution après deux censures…
Durant le second conflit mondial, la pénurie de matériel motorisé allemand face notamment au géant soviétique conduit à capturer voire réquisitionner tout matériel roulant susceptible de renforcer les effectifs de matériel de toute nature, engins de combat, véhicules logistiques et munitions adaptées.
De nombreux pays alliés voient leur matériel incorporés au sein des forces de l’Axe après capture ou saisie.
La France n’y échappe pas et ainsi, bon nombre de ses engins se voient « teutonisés » afin de servir aux forces ennemies.
Certains véhicules ne subissent que peu de modifications, ne recevant qu’une nouvelle livrée et des marquages allemands, d’autres sont transformés significativement, modifiant ainsi leur destination première.
Les photos ci-après nous montrent au premier plan quelques blindés français germanisés.
De gauche à droite :
- Une chenillette sanitaire Lorraine Diétrich 38 L (f) (contribution n° 106),
- Un tracteur chenillé Lorraine Diétrich 37 L (f) (contribution n° 82),
- Un char de dépannage sur châssis Renault R 35 731 (f) (contribution n° 108),
- Un char de combat Somua S 35 739 (f) (contribution n° 20),
- Un chasseur de char sur châssis Hotchkiss H 39 739 (f),
- Un char de combat B2* 740 (f) (contribution n° 10),
* Le char B2 est construit par plusieurs industriels dont Renault, FAMH, FCM, AMX, Schneider, entre autres.
En arrière plan d’autres véhicules non chenillés apparaissent, de gauche à droite :
- Un véhicule de liaison Citroën typ 11 (f) (contribution n°05),
- Un camion cargo LKW 3,5 t Renault AHN1 (f) (contribution n°53),
- Un blindé à roues de reconnaissance Panhard & Levassor P 178 204 (f) (contribution n° 47).
A suivre…
A +
Troisième tentative de parution après deux censures…
Durant le second conflit mondial, la pénurie de matériel motorisé allemand face notamment au géant soviétique conduit à capturer voire réquisitionner tout matériel roulant susceptible de renforcer les effectifs de matériel de toute nature, engins de combat, véhicules logistiques et munitions adaptées.
De nombreux pays alliés voient leur matériel incorporés au sein des forces de l’Axe après capture ou saisie.
La France n’y échappe pas et ainsi, bon nombre de ses engins se voient « teutonisés » afin de servir aux forces ennemies.
Certains véhicules ne subissent que peu de modifications, ne recevant qu’une nouvelle livrée et des marquages allemands, d’autres sont transformés significativement, modifiant ainsi leur destination première.
Les photos ci-après nous montrent au premier plan quelques blindés français germanisés.
De gauche à droite :
- Une chenillette sanitaire Lorraine Diétrich 38 L (f) (contribution n° 106),
- Un tracteur chenillé Lorraine Diétrich 37 L (f) (contribution n° 82),
- Un char de dépannage sur châssis Renault R 35 731 (f) (contribution n° 108),
- Un char de combat Somua S 35 739 (f) (contribution n° 20),
- Un chasseur de char sur châssis Hotchkiss H 39 739 (f),
- Un char de combat B2* 740 (f) (contribution n° 10),
* Le char B2 est construit par plusieurs industriels dont Renault, FAMH, FCM, AMX, Schneider, entre autres.
En arrière plan d’autres véhicules non chenillés apparaissent, de gauche à droite :
- Un véhicule de liaison Citroën typ 11 (f) (contribution n°05),
- Un camion cargo LKW 3,5 t Renault AHN1 (f) (contribution n°53),
- Un blindé à roues de reconnaissance Panhard & Levassor P 178 204 (f) (contribution n° 47).
A suivre…
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