Bonjour,
Lors de sa sortie en 1968, j'ai monté le Skyraider d'Airfix dans la version proposée, A-1J. N'ayons pas peur de le dire, c'est une pauvre maquette qui n'est pas à la hauteur de son modèle...
Bref, quelque 10 ans plus tard et après avoir eu la chance de voir de près et, surtout, de pouvoir photographier de vrais "Sky" français, je ne suis décidé à monter un AD-4N aux couleurs, donc, de l'armée de l'air, d'autant que Modeldecals y avait également consacré une planche bien fournie. Précisons que le patron de Modeldecals était très francophile.
Fort de mon photoscope, j'ai surtout travaillé le fuselage en le bourrant de mastic à l'intérieur afin de pouvoir restituer l'arête dorsale en angle aigu et non arrondie comme le proposait Airfix, sans perforer les surfaces. Pour les ailes, dont le système de repliage gâchait de trop le rendu des surfaces, j'ai suivi la voie de la facilité en greffant l'aile du A-1E de Monogram auquel j'empruntais également l'hélice et les roues. Tous les autres détails furent confectionnés ex nihilo.
Pour les salissures, il ne faut pas y aller de main morte...
Voici le résultat pour une maquette doublement "vintage", puisque les bases utilisées ont presque 50 ans et le montage quelque 42 ans !
Sur cette vue arrière on voit le calage important de la dérive:
Il faut bien représenter la torsion de la dérive dû à l'angle anti couple-moteur:
Lors de sa sortie en 1968, j'ai monté le Skyraider d'Airfix dans la version proposée, A-1J. N'ayons pas peur de le dire, c'est une pauvre maquette qui n'est pas à la hauteur de son modèle...
Bref, quelque 10 ans plus tard et après avoir eu la chance de voir de près et, surtout, de pouvoir photographier de vrais "Sky" français, je ne suis décidé à monter un AD-4N aux couleurs, donc, de l'armée de l'air, d'autant que Modeldecals y avait également consacré une planche bien fournie. Précisons que le patron de Modeldecals était très francophile.
Fort de mon photoscope, j'ai surtout travaillé le fuselage en le bourrant de mastic à l'intérieur afin de pouvoir restituer l'arête dorsale en angle aigu et non arrondie comme le proposait Airfix, sans perforer les surfaces. Pour les ailes, dont le système de repliage gâchait de trop le rendu des surfaces, j'ai suivi la voie de la facilité en greffant l'aile du A-1E de Monogram auquel j'empruntais également l'hélice et les roues. Tous les autres détails furent confectionnés ex nihilo.
Pour les salissures, il ne faut pas y aller de main morte...
Voici le résultat pour une maquette doublement "vintage", puisque les bases utilisées ont presque 50 ans et le montage quelque 42 ans !
Sur cette vue arrière on voit le calage important de la dérive:
Il faut bien représenter la torsion de la dérive dû à l'angle anti couple-moteur: