Et voici que Jean-Louis Bernard réitère sa magnifique saga sur les Mirage F1 irakiens avec ce tome III.
Il s'agit du dernier épisode narrant les exploits des pilotes de Saddam Hussein à bord de ces F1 d'exception.
Les précédents tomes nous avaient amenés au début de cette aventure avec le volet formation (dont une partie exceptionnelle sur la location des Super Etendard) puis sur les combats de la guerre Iran-Irak.
L'auteur qui était ingénieur Dassault, en poste sur place pendant plusieurs années, dévoile avec un style bien à lui et très attachant, la vie passée dans ce pays si particulier.
Ce dernier tome décrit la fin de l'ère du F1 en Irak avec la guerre du Golfe et la débâcle qui en résulta.
Nul doute que l'on prendra le même plaisir à se plonger dans ces 288 pages à l'approche de l'été.
Je signale que l'auteur a créé un excellent blog avec de très nombreuses photos et cette sortie a permis d'en ressortir de nouvelles.
http://les-heros-de-bagdad.over-blog.com/
Par contre et contrairement aux tomes précédents, ce livre ne possède pas de photo.
Je ne peux que vous recommander ce livre, édité à compte d'auteur, voire les 3 si vous ne les avez pas encore lu !
https://www.bookelis.com/histoire/51179-LES-HEROS-DE-BAGDAD-TOME-3.html
Merci vraiment à toi Jean-louis !
Résumé :
Mossoul, juin 1983, Salih vient souhaiter bonne chance aux trois copains qui partent à Landivisiau pour le stage Super-Etendard, et avec qui il a fait les 400 coups en France, de Rochefort à Cazaux, il y a trois ans. Il préfère rester ici, à Qayarah, et poursuivre sa carrière au sein des escadrons 79, 89 ou 91. L’avenir montrera que ces trois unités, un peu moins médiatisées, ont contribué à la réussite des Mirage F1, tout autant que le 81 et ses EQ5.
Cinq ans plus tard, les Iraquiens fêtent la fin de la guerre, mais rapidement les nuages s’amoncellent. Un président qui se prend pour le nouveau Saladin, puis, qui décide d’envahir le Koweït. Ensuite, la descente aux enfers. Tempête du désert, un combat perdu d’avance, où les Mirage courberont l’échine.
Le 26 janvier 1991 sonne le glas de l’aventure des Mirage iraquiens. Salih dirige une formation de 18 F1 EQ, parmi les plus récents. Les avions vont se mettre à l’abri en Iran. Jamais, ni Salih, ni Amer qui ferme la marche de ce cortège funèbre, n’avaient imagé pire scénario.
Il s'agit du dernier épisode narrant les exploits des pilotes de Saddam Hussein à bord de ces F1 d'exception.
Les précédents tomes nous avaient amenés au début de cette aventure avec le volet formation (dont une partie exceptionnelle sur la location des Super Etendard) puis sur les combats de la guerre Iran-Irak.
L'auteur qui était ingénieur Dassault, en poste sur place pendant plusieurs années, dévoile avec un style bien à lui et très attachant, la vie passée dans ce pays si particulier.
Ce dernier tome décrit la fin de l'ère du F1 en Irak avec la guerre du Golfe et la débâcle qui en résulta.
Nul doute que l'on prendra le même plaisir à se plonger dans ces 288 pages à l'approche de l'été.
Je signale que l'auteur a créé un excellent blog avec de très nombreuses photos et cette sortie a permis d'en ressortir de nouvelles.
http://les-heros-de-bagdad.over-blog.com/
Par contre et contrairement aux tomes précédents, ce livre ne possède pas de photo.
Je ne peux que vous recommander ce livre, édité à compte d'auteur, voire les 3 si vous ne les avez pas encore lu !
https://www.bookelis.com/histoire/51179-LES-HEROS-DE-BAGDAD-TOME-3.html
Merci vraiment à toi Jean-louis !
Résumé :
Mossoul, juin 1983, Salih vient souhaiter bonne chance aux trois copains qui partent à Landivisiau pour le stage Super-Etendard, et avec qui il a fait les 400 coups en France, de Rochefort à Cazaux, il y a trois ans. Il préfère rester ici, à Qayarah, et poursuivre sa carrière au sein des escadrons 79, 89 ou 91. L’avenir montrera que ces trois unités, un peu moins médiatisées, ont contribué à la réussite des Mirage F1, tout autant que le 81 et ses EQ5.
Cinq ans plus tard, les Iraquiens fêtent la fin de la guerre, mais rapidement les nuages s’amoncellent. Un président qui se prend pour le nouveau Saladin, puis, qui décide d’envahir le Koweït. Ensuite, la descente aux enfers. Tempête du désert, un combat perdu d’avance, où les Mirage courberont l’échine.
Le 26 janvier 1991 sonne le glas de l’aventure des Mirage iraquiens. Salih dirige une formation de 18 F1 EQ, parmi les plus récents. Les avions vont se mettre à l’abri en Iran. Jamais, ni Salih, ni Amer qui ferme la marche de ce cortège funèbre, n’avaient imagé pire scénario.