J’avais acquis chez W^D de quoi construire deux motocyclettes.
Voici les pièces (fois deux) de la moto. Le personnage est une figurine (artilleur) Retrokit que je voulais essayer d’en faire le pilote.
Du même fabriquant mais cette fois en métal blanc ...
J'ai donc monté la première moto... enfin presque, y'a encore échappement libre.
J'ai cassé le guidon en dégrappant et donc refait en métal. les poignées sont en coton tige étiré.
Pour les roues à rayons, W^D n'a prévu qu'une pièce par roues. J'ai trouvé des rayons sur une planche Eduard pour compléter.
Les pièces blanches sont des rajouts en plastique.
En 1916, la ration gratuite de vin passe à 50 centilitres par jour, mais on peut toujours acheter une bonne boutanche ailleurs. Du coup, la consommation de « pinard » est, comme une image d’Epinal, synonyme du quotidien des bonshommes.
« Boire un coup » devient le ressort fondamental de l’identité des poilus.
La Madelon venait servir à boire...
A la votre...
Voici les pièces (fois deux) de la moto. Le personnage est une figurine (artilleur) Retrokit que je voulais essayer d’en faire le pilote.
Du même fabriquant mais cette fois en métal blanc ...
J'ai donc monté la première moto... enfin presque, y'a encore échappement libre.
J'ai cassé le guidon en dégrappant et donc refait en métal. les poignées sont en coton tige étiré.
Pour les roues à rayons, W^D n'a prévu qu'une pièce par roues. J'ai trouvé des rayons sur une planche Eduard pour compléter.
Les pièces blanches sont des rajouts en plastique.
En 1916, la ration gratuite de vin passe à 50 centilitres par jour, mais on peut toujours acheter une bonne boutanche ailleurs. Du coup, la consommation de « pinard » est, comme une image d’Epinal, synonyme du quotidien des bonshommes.
« Boire un coup » devient le ressort fondamental de l’identité des poilus.
La Madelon venait servir à boire...
A la votre...